samedi 20 septembre 2014

Journées du patrimoine 2014, maison du fontainier.

C'est quasiment du direct, mais ce week-end il y a les journées du patrimoine.
Grace à un tweet de la mairie de paris (@paris), j'ai eu connaissance de la maison du fontainier, qui est aussi le dernier regard sur l'arrivée d'eau de la ville de Paris remontant à l'époque romaine, et modernisé sous les Medicis.
Ça se passe 42 Avenue de l'observatoire, juste à côté de l'observatoire de Paris.





Prévoir d'arriver tôt, arrivé une demi heure avant je suis passé avec le deuxième groupe, quand je suis ressortis 45 minutes plus tard, la file d'attente s'allongeait loin dans la rue qui coupe l'avenue de l'observatoire.

Donc sous la maison du fontainier, il y a l'arrivée d'une partie de l'eau qui alimentait Paris au 1'ème siècle, depuis Rungis, soit 13 kilomètres.




L'entrée des bassins souterrains et notre guide.
(Très bon guide, en passant)















On visite donc les bassins souterrains, qui permettaient de distribuer l'eau sur cette partie de Paris, et le réservoir adjacent.


L'entrée du réservoir


Franchement c'est passionant, et c'est le genre de visite insolite qui vaut largement le détour.
Les anciens locaux de la maison du fontainier qui appartiennent maintenant à une congrégation religieuse sont occupés par une association pour handicapés mentaux qui pratique l'équithérapie (thérapie avec des animaux doux)

Et vous pourrez acheter à la sortie des cartes postale, et des guides sur la cheminement de l'eau jusqu'à Paris.


L'accès aux bassins souterrain
L'arrivée de l'eau par tunnel depuis Rungis

























N'hésitez pas à me faire part de vos critiques et à commenter.

dimanche 7 septembre 2014

Fête de Ganesh

Chaque année a lieu à Paris, dans le quartier de La Chapelle, la fête de Ganesh.
Fête religieuse Hindouiste, cette fête célèbre le dieu Ganesh, qui a donné sa vie pour Vishnou et s'est vu récompensé en remplaçant sa tête perdue par celle d'un éléphant.
Elle est censée symboliser la destruction des obstacles qui se mettent en travers de votre chemin pour arriver au résultat voulu, et est très prisée des commerçants.




Elle a lieu chaque dernier week end d'aout, et en Inde un éléphant écrase des noix de coco, pour symboliser la destruction des obstacles.
Évidement en France, point n'est question de faire déambuler un éléphant dans les rues de Paris, cela fusse dans le quartier Indien de Paris, ce sont donc des Brahmanes qui s'y collent, cassant les noix de coco à mains nues.




C'est d'ailleurs assez spectaculaire.
Tout ça se déroule dans une ambiance mi bon enfant, mi extatique lors du passage de la procession.

Une vidéo de la procession ci-dessous, c'est ma première vidéo, alors un peu d'indulgence. ^^





Une partie de la procession


Une partie de la procession
Les femmes sont en sari, bon cette année, une relative fraicheur a un peu gâché l'ambiance, et a caché les fameux saris, mais bon...






















Lors de cette fête les enfants sont mis en avant, et concentre toute l'attention des adultes.





Arrive enfin le passage des Brahmanes qui se jettent sur les tas de noix de coco dispersés un peu partout le long du parcours de la procession, pour les réduire en miette.


Avant...

... après.
Cette fête est un voyage immobile, un moyen d'aller en Inde sans quitter Paris. Seul défaut, comme pour le nouvel an Asiatique, ça commence à être très couru, et il y a maintenant beaucoup de mondes, dont beaucoup de curieux. Mais bon les habitués de maintenant ont été les curieux d'hier. ^^




Comme d'habitude, n'hésitez pas à laisser des commentaires, et des critiques.

samedi 30 août 2014

Voyage au Japon, mars-avril 2011, 2ème partie, Tokyo



Après mon passage par Kyoto et Osaka, je me suis rendu à Tokyo.
On dit souvent de Tokyo que c'est la plus jolie des villes moches, les goûts et les couleurs... ^^
Tout ce que je sais, c'est que la diversité des quartiers, allant du pure moderne au thématique (Akihabara et son empreinte culture pop et otaku), allié à de nombreux parcs qui sont autant de poumons nécessaire à cette ville d'un million cinq habitants, en font une ville attrayante et riche en découvertes.








A peine arrivé, je me suis précipité au parc Yoyogi pour retrouver des amis, invité à un pique nique hanami (littéralement, contemplation des cerisiers en fleurs)
Je ne les ai jamais trouvé tellement il y avait de monde, mais les "rockers du dimanche" à l'entrée du parc faisaient l'animation.




 Comment explorer et découvrir une ville comme Tokyo ?
Forcément pour une première visite j'ai visité les quartiers archi connu et renommé, faisant des impairs.



Shibuya et le quartier de la mode, et branché par excellence. Son carrefour avec passage piéton transversale est archi connu.





On trouve énormément de jeunes dans ce quartier à la recherche de nouvelles tendances, ou cherchant de nouveaux bars, ou boites, à la mode.


Les ramens sont une spécialité Japonaise, un plat par cher, varié, et vite avalé, idéal pour le salary man qui veut se sustenter le midi pendant sa pause déjeuner.
On peut en trouver partout, et en général quand on en tient un bon, on y retourne.
J'ai trouvé le mien près de la station d'Ebisu, et j'y retourne à chaque fois que je retourne à Tokyo.



Autre quartier emblématique de Tokyo, Akihabara, appelé aussi, "la ville électrique".
À la fin de la seconde guerre mondiale, les revendeurs de matériels électronique, et électrique, se sont regroupé à la sortie de la gare d'Akihabara, ce qui lui a donné son nom.
Maintenant c'est le quartier du high tech, des config d'ordinateurs faites maison que vous ne trouverez nulle part ailleurs.

Devenu le quartier de la pop culture Japonaise, c'est le lieu incontournable pour dénicher des mangas, figurines, t-shirt, et objets de vos séries préférées.










Akihabara est aussi connu pour ses café à thème, avec des "maid girls" habillée en soubrette qui vous servent votre consommation, et jouet, ou discutent avec vous.
Si vous ne parlez que Français, vous serez déçue, il faut au minimum savoir parler anglais, et le Japonais est fortement conseillé, sous peine de regarder les autres consommateurs rigoler avec les maid, le nez dans votre café, ou chocolat.















Un quartier super spectaculaire par son architecture, est Shinjku. Outre le fait d'avoir la plus grande gare du monde, le quartier est divisé en trois. Une partie "mal famé" de salles de patchinko, ou l'on croise souvent des yakusa, reconnaissables à leur costumes tiré à quatre épingles, parlant au micro dissimulé dans leur manchette de veste.
Une partie populaire de petit bars, isakaya (bar ou l'on vient le soir après le travail), et restaurants, et une partie moderne de building miroir, dont la mairie de Tokyo.













On se sent vraiment tout petit, n'est ce pas ?


Sur la droite le bâtiment qui abrite l'hôtel de ville de Tokyo
 Une des choses qui font du Japon un pays exotique pour nous autres occidentaux, ce sont les véhicules que l'on croisent tout les jours dans la rue.
La dedans il y a deux choses qui m'ont marqué, les véhicules publicitaire, qui déambulent à allure réduite, hurlant leur slogans, avec parfois des hôtesses souriante sortant par la vitre pour faire coucou.
J'ai oublié le nom Japonais, si quelqu'un se rappelle, merci de me le faire savoir par commentaire.
Et parfois, comme ci-dessous, on croise sa version écolo, à vélo.



Et les bus. Chez nous les bus ont un usage purement fonctionnel, avec le logo de l'entreprise, point.
au Japon, fi du pragmatisme Asiatique, on fait preuve de fantaisie.

On a donc le bus panda.



Et le bus...
... Rouge et noir, limite rococo. ^^



Koi nobori flottant au vent
 Après une semaine passée à Tokyo j'ai ressenti le besoin de m'éloigner de la ville.
Donc direction le mont Fuji, fujisan comme l'appelle les Japonais, et non "Fujiyama" qui est une appellation occidentale.
Le mont Fuji n'est pas si loin de Tokyo. son ascension est limité à la période estivale, donc pas question de le gravir, juste de s'en approcher le plus possible.

C'était agréable de voir enfin autre chose que des immeubles.
J'aime bien Tokyo, mais pour l'apprécier il faut savoir de temps en temps s'en éloigner pour mieux y revenir.











Après quelques heure de marche dans la campagne, j'ai pu m'approcher du mont Fuji.










De retour à Tokyo j'ai filé au mandaraké, le plus gros magasin de manga, figurine, et objets de manga existant au monde.
En fait il y en a plusieurs à Tokyo, mais le plus gros c'est dans la quartier de Nakano.
Dans un centre commercial il y a plusieurs magasins sur trois étages.
Si vous ne trouvez pas votre bonheur ici, vous ne le trouverez nul part ailleurs.








Dans le centre commercial j'ai aussi trouvé cette boutique vendant un capharnaüm de chaussures diverses et variées, j'ai trouvé ça amusant.



Impensable d'aller à Tokyo sans passer par le musée Ghibli.
Le musée officiel des studio Ghibli, avec sa reproduction du chat bus en peluche géante pour les enfants, et la copie du bureau de Myiazaki, et le foutoir qui va avec.




Malheureusement les photos sont interdites à l'intérieur, ce qui est le cas avec beaucoup de musée d'ailleurs, donc j'ai du me replier sur ce qui était autorisé, à savoir pas grand chose.


Ne me demandez pas à quoi sert la manivelle, je ne sais pas. ^^


Sur le toit de l'immeuble, un espace aménagé, et en référence au film "Le chateau dans le ciel" est aménagé pour les photos.

Ici le cube que l'on voit à la fin du film

Un des robots du film inspiré par le film du Français Paul Grimault, "Le roi et l'oiseau"
Les 47 ronins ne sont pas une légende, ils ont réellement existé, et leur tombes sont au cimetière Sengakuji.
 J'y suis passé, j'en avais juste envie.^^



L'heure du départ approchant, il était temps de prendre le train, ce fut l'occasion d'une dernière photo, celle d'une emplyée de train JR, à l'arrière du train, qui comme tout ces collègues, surveille bien que toutes les portes sont bien fermées, et que personnes n'est coincé pour éviter les accidents.


dimanche 17 août 2014

Le collectif ugoita

Vu aujourd'hui dans l'excellente émission de canal +, l'oeil de links, le collectif Ugoita qui récupère de vieux jouets électronique pour leur donner une seconde vie.

Donc on a l'harmonica 8 bits fait avec de vieilles cartouches de jeux vidéos:


 


Ou le parapluie qui transforme la pluie en musique:


Pour en savoir plus sur le collectif Japonais Ugoita, c'est ici:

http://www.ugoita.com/


samedi 2 août 2014

Paris by night...

Après la projection gratuite de Ame et Yuki les enfants, à la vVillette, j'ai pris mon temps pour rentrer et fait des photos de Paris la nuit.

L'hôtel de ville de Paris
Ajouter une légende

Le tribunal de Paris



Une tour Eiffel rouge, émerge de Paris plage, le long de la Seine.



La cour du Louvres, à l'intérieur de la pyramide une installation d'art contemporain, je suppose...
Comme la cour était barrée par des barrières, et qu'il n y avait aucunes indications, c'est difficile de savoir.



L'avenue de Rivoli vers la place de la Concorde.



L'avenue des Champs Élysée vu de la place de la Concorde.



Le parvis de La Defense sous la grand arche, vers Paris. Dans le fond on distingue à peine l'arc de Triomphe.